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Découvrez comment surmonter les obstacles et profiter des avantages d'un investissement immobilier précoce.
Bien qu’investir dans l’immobilier n’a pas d’âge, les moins de 30 et 20 ans se découragent devant leur manque d’apport personnel et d’expériences. Cependant, il y a de nombreuses manières de réaliser un investissement immobilier en étant jeune et de profiter de ses nombreux avantages.
Dans le présent guide, découvrez les essentiels à propos de l’investissement immobilier jeune.
En fonction du profil de l’investisseur et de son projet, il dispose de nombreuses solutions pour investir jeune dans l’immobilier.
La première solution d’investissement immobilier qui s’offre aux jeunes est l’acquisition d’une résidence principale. Il s’agit d’un patrimoine qui sert de logement effectif et habituel et qui a une valeur d’usage. En plus de se libérer de la charge des loyers, l’investisseur peut utiliser son patrimoine comme garantie pour d’autres crédits et être dans de meilleures conditions d’emprunt.
Pour sa part, l’achat immobilier d’une résidence secondaire est aussi un investissement qui permet de se constituer un patrimoine et parfois de dégager des revenus locatifs saisonniers.
L’investissement locatif consiste à financer un achat immobilier avec les loyers versés par les locataires. En d’autres termes, ce sont les loyers qui assurent le remboursement du prêt auprès de l’établissement de crédit immobilier. De quoi investir sans prendre trop de risques.
Par ailleurs, le dispositif Pinel favorise l’investissement locatif en proposant dans le cadre d’un logement neuf ou réhabilité une réduction d’impôt de :
Toutefois, la réduction fiscale est plafonnée à 52 500 euros.
Aussi appelé financement participatif immobilier, le crowdfunding immobilier consiste pour un opérateur immobilier à faire financer un projet par une foule d’investisseurs depuis une plateforme.
Pour le jeune épargnant, choisir cette solution lui demande de prêter un capital à un promoteur pour financer différents projets immobiliers. En échange, il bénéficie d’intérêts selon le montant de son placement.
Finalement, le jeune investisseur peut passer par une SCPI Société Civile de Placement Immobilier. Cette option consiste à acheter de la pierre-papier. Il s’agit d’acquérir une ou des parts d’une société qui se charge de l’obtention ainsi que de la gestion d’un portefeuille de biens situés en France ou à l’étranger.
Investir depuis un jeune âge dans l’immobilier offre de nombreux privilèges qu’il serait dommage de passer outre.
Le jeune épargnant peut se constituer un patrimoine immobilier durable en investissant dans l’immobilier. C’est par ailleurs ce caractère tangible de la pierre qui en fait une valeur sûre.
Plus tard, l’investisseur peut revendre sa propriété et retirer une plus-value. D’ailleurs, le bien immobilier garde toujours sa valeur minimale malgré la fluctuation du marché. Il peut aussi transmettre le patrimoine à ses héritiers.
L’investissement immobilier permet de créer d’appréciables revenus stables tout en fournissant peu ou pas d’efforts de suivi.
Lorsque le projet fait l’objet d’une étude approfondie, la rente locative permet au jeune investisseur de rembourser rapidement le crédit immobilier. Par la suite, le placement génère de la rente qui peut être capitalisée pour se lancer dans une deuxième acquisition.
Face à la pénurie de logements locatifs dans certaines zones sensibles, le gouvernement soutient les investisseurs en leur offrant des avantages fiscaux. Il s’agit par exemple de :
Ces dispositifs constituent de véritables aubaines pour les investisseurs.
En période de hausse des prix, investir dans l’immobilier est une des meilleures façons de protéger son argent. Pourquoi ? Et bien parce que les taux des crédits immobiliers subissent peu ou pas de révisions même dans une telle conjoncture. Par contre, les revenus locatifs peuvent faire l’objet d’une hausse. À condition toutefois d’avoir engagé le prêt immobilier avant l’arrivée de l’inflation.
Investir dans l’immobilier jeune présente des difficultés et l’une d’entre elles est le manque d’expériences de gestion immobilière.
Par ailleurs, bien qu’il s’agisse d’un métier à part entière, le propriétaire a intérêt à maitriser les connaissances techniques, administratives, fiscales et juridiques liées à son domaine d’investissement. Pour y arriver, le mieux c’est d’investir jeune dans l’immobilier.
L’investissement immobilier jeune n’est pas sans comporter de risques. C’est pour cette raison qu’il est préférable de suivre quelques conseils éprouvés pour procéder au mieux.
Le jeune investisseur doit en premier lieu rester raisonnable et établir des objectifs d’investissement clairs. Pour y arriver, l’intéressé doit :
Autant de tâches qui demandent de la méthode et de la rigueur.
L’investisseur doit également se renseigner sur la situation du logement dans le secteur de son choix. De prime abord, il doit s’assurer que la demande soit supérieure à celle de l’offre. Puis, le porteur de projet peut aussi évaluer les tarifs locatifs pratiqués dans la catégorie que son bien. De cette manière, il est sûr d’éviter les vacances locatives.
Vu le manque d’expérience en gestion locative des jeunes investisseurs, ils doivent considérer la solution de faire évaluer leurs projets par un professionnel de l’immobilier. Ainsi, ils bénéficient d’études prévisionnelles approfondies et personnalisées. Par ailleurs, l’investisseur jeune peut être rassuré de la fiabilité des professionnels de l’immobilier vu qu’il s’agit d’une activité réglementée.
Pour le propriétaire, l’intérêt de se former à la gestion immobilière est qu’il puisse lui-même assurer l’organisation des visites, la relance des locataires ou les petits travaux entre les cycles de location. Outre la spécialisation après un BTS ou en fin de licence, le jeune investisseur peut suivre des formations libres qui ne demandent pas de prérequis spécifiques.
Certes, le jeune investisseur ne sera pas expert de l’immobilier du jour au lendemain. Par contre, il peut mettre les chances de ses côtés en évitant les erreurs classiques que commettent les autres avant de se lancer. Il s’agit entre autres de croire que l’investissement immobilier est réservé aux riches, de négliger les conseils des professionnels ou de ne pas passer à l’action.
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