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Investir en Private Equity ou en Private Equity Immobilier pour %current_year% : lequel est le plus rentable ?

En %current_year%, le private equity (participations dans des entreprises non cotées) et le private equity immobilier (expositions non cotées à des projets ou sociétés immobilières) partagent une logique de création de valeur active, mais n’obéissent pas aux mêmes cycles.

L’un vit au rythme des deals M&A, de l’exécution opérationnelle et des sorties, l’autre dépend davantage des fondamentaux immobiliers (cap rates, loyers, taux de vacances, coûts de financement).

L’objectif de ce guide : vous donner des repères clairs et actionnables pour comparer la rentabilité, les risques et la fiscalité, puis trancher selon votre profil.

Les points à retenir :

  • Deux classes non cotées, une même promesse : la création de valeur à long terme… mais avec des risques, une illiquidité et une dispersion de performance élevées.
  • La « meilleure » rentabilité dépend du cycle %current_year%, de la qualité du gérant, des frais et de la fiscalité nette, pas d’un label en soi.
  •  Un mix PE + Private Equity Immobilier ou une alternative private equity (dette privée) peut optimiser le couple rendement/risque, surtout si votre horizon dépasse 5 à 8 ans.

Comparatif %current_year% : points communs et différences entre le private equity et le private equity immobilier

Private equity : prises de participation dans des sociétés non cotées, avec intervention stratégique et opérationnelle pour améliorer la valeur et sortir à un multiple.
Private equity immobilier : expositions non cotées à des projets/sociétés immobiliers (acquisition, développement, repositionnement, revente), via des fonds fermés ou véhicules dédiés.

Critère Private Equity Private Equity Immobilier
Sous-jacent Entreprises non cotées (tous secteurs) Actifs/projets immobiliers non cotés
Rendement visé Élevé mais dispersé; dépend du dealflow et des sorties Élevé mais sensible aux cycles immobiliers et aux cap rates
Risque/volatilité Opérationnel + levier + multiples à la sortie Marché immobilier + levier + exécution des projets
Liquidité Nulle pendant la durée du fonds (fonds fermés 8–10 ans) Dépend de la solution. Possibilité de liquidité avec Openstone dès la 4ᵉ année.
Flux Plus-values en sortie; dividendes possibles Dépends du fonds. Revenus locatifs potentiels + plus-values à la cession
Fiscalité Dépend du véhicule et de l’enveloppe (compte-titres, assurance-vie, holding) Idem
Ticket d’entrée Variable; démocratisation via plateformes/fonds éligibles Variable; accès en hausse via solutions dédiées dès 30 000€ sous conditions ou 100 000€
Contexte 2025 Reprise M&A sélective, coûts de la dette en normalisation graduelle Repricing en cours, opportunités de distress/value-add sur actifs décotés

Les points communs entre eux sont : investissement non coté, gestion active, horizon long, sélection du gérant centrale.

Leurs différences sont : sous-jacent, dynamique des multiples (PE) vs cap rates et loyers (PEI), nature des risques, profil de flux, timing des cycles.

Private equity : de quoi parle-t-on ?

Le private equity (capital-investissement) consiste à prendre des participations dans des sociétés non cotées pour les transformer, puis matérialiser la création de valeur en cédant tout ou partie de leur participation (rachat par les fondateurs, cession industrielle, cession à un autre fonds, IPO). L’univers se décline en quatre familles : capital-risque, capital-développement, capital-transmission (buyout) et retournement.

Un fonds lève des engagements auprès d’investisseurs, déploie le capital, accompagne activement les participations (gouvernance, build-ups, excellence commerciale, efficacité opérationnelle), puis organise les sorties (cession industrielle, IPO, vente à un autre fonds). La trajectoire suit souvent une courbe en J (J-curve) : peu de distributions au début, puis des retours concentrés quand les plans d’affaires aboutissent.

Côté rendement, le potentiel est élevé mais très dispersé selon gérants, millésimes et secteurs. Le résultat net de frais dépend surtout du prix d’entrée, de l’exécution, du timing de sortie, et des frais (management fees, carried interest), ainsi que de l’enveloppe d’investissement choisie (compte-titres, assurance-vie, holding).

Les risques clés : perte en capital, illiquidité (8–10 ans), dépendance à la réussite opérationnelle et sensibilité aux cycles et au coût de la dette.

Private equity immobilier : qu’est-ce concrètement ?

Le private equity immobilier (PEI) est un investissement direct ou indirect dans des sociétés ou projets immobiliers non cotés avec un objectif de création de valeur active.

Les cibles couvrent les marchands de biens, développeurs/promoteurs, gestionnaires d’actifs, ainsi que des actifs opérés (hôtels, résidences gérées, coworking) et des thématiques comme la logistique, santé ou data centers.

Un fonds PEI constitue un portefeuille puis déploie un plan en quatre temps : acquisition (souvent décotée), repositionnement/restructuration (travaux, normes ESG, re-branding), développement, re-location (optimisation du mix locatif, reversion), et revente une fois l’actif stabilisé. Les leviers clés : capex ciblés, maîtrise des cap rates et du financement.

Les SCPI/OPCI visent plutôt des stratégies core/core+ mutualisées, plus distribuantes et avec une liquidité organisée. Le locatif direct concentre le risque sur un seul bien et exige une gestion quotidienne.

Le PEI est plus value-add/opportuniste, donc potentiellement plus rémunérateur mais plus exigeant.

Côté performance, le potentiel peut être supérieur grâce à l’effet de levier, à l’expertise d’exécution et à la gestion active.

En contrepartie : illiquidité, durée de blocage (5–10 ans hors Openstone Prime), sensibilité aux cycles immobiliers, risques opérationnels (délais, dépassements de coûts) et coût de la dette. L’accès progresse via des plateformes spécialisées et des fonds de fonds, avec des tickets d’entrée de plus en plus accessibles (voir Openstone Prime).

Quel choix faire selon votre profil d’investisseur ?

Commencez par vos objectifs : viser la plus-value (PE) ou combiner revenus et revalorisation (PEI). Évaluez votre tolérance au risque et à l’illiquidité (8–10 ans), puis votre horizon réel : plus il est long, plus la création de valeur a le temps de s’exprimer. Intégrez vos contraintes fiscales (assurance-vie, holding) et votre souhait d’implication (lecture de reportings, compréhension des jalons M&A ou capex).

Enfin, testez l’adéquation avec vos besoins de cash-flow.

En pratique :

  • Profil dynamique → surpondérer PE ; profil cherchant des leviers tangibles et des décotes d’actifs → surpondérer PEI.
  • Besoin d’amortir la volatilité → ajouter une alternative en private equity (dette privée).

Quel investissement est le plus avantageux ?

Critère Private equity (PE) Private equity immobilier (PEI)
Potentiel de rendement net Fort, mais très dispersé (dépend du gérant et des sorties) Fort, avec asymétrie quand on achète décoté et qu’on exécute bien le plan
Diversification Multi-secteurs, géographies, stratégies (buyout, growth, etc.) Multi typologies d’actifs réels (logistique, résidentiel géré, santé, hospitality…)
Accessibilité / ticket Démocratisation progressive via fonds/plateformes Idem, accès croissant via fonds dédiés et club deals
Conjoncture 2025 Reprise M&A sélective ; coût de la dette encore exigeant Repricing immobilier offrant des points d’entrée et des plans de repositionnement

Le PE reste l’outil le plus scalable pour capter des moteurs de valeur variés (build-ups, gains opérationnels). Le PEI profite en 2025 d’un repricing qui ouvre des fenêtres d’achat à prix serré, avec des leviers tangibles (capex utile, re-leasing, verdissement) et une meilleure lisibilité micro quand l’actif est bien situé. Côté rendement net, la différence se fait sur le prix d’entrée, le financement et la discipline des frais.

Les deux univers se démocratisent, mais la vraie barrière reste la sélection du gérant et la capacité à diversifier ses lignes.

Verdict en %current_year% :  légère avance PEI si vous cherchez à monétiser le cycle de décote des actifs réels avec des leviers opérationnels clairs.

Avantage PE si vous privilégiez la scalabilité et les catalyseurs multi-secteurs. Dans les deux cas, une poche d’alternative private equity (dette privée) peut stabiliser l’ensemble.

Quel investissement est le plus risqué ?

Type de risque PE PEI
Marché Compression des multiples à la sortie, fenêtre IPO étroite Hausse des cap rates, baisse des valeurs, vacance
Opérationnel Plan stratégique non tenu, intégrations ratées Capex, délais administratifs, obsolescence
Financier Coût de la dette, covenants, refinancement Idem : LTV/DSCR, refinancement plus sensible au taux
Liquidité Blocage 7–10 ans, secondaire limité Blocage 5–10 ans, secondaire parfois, mais incertain
ESG/Réglementaire Gouvernance, conformité sectorielle Normes énergétiques, autorisations, taxonomie

Le levier est une lame à double tranchant dans les deux mondes. En 2025, le PE subit la cyclicité M&A et l’aléa des multiples ; le PEI porte la sensibilité aux taux et aux coûts de construction. La volatilité des valorisations intermédiaires existe des deux côtés, et l’illiquidité impose une vraie patience.

Diversifier par millésime/stratégie/géographie, privilégier des gérants à track-record éprouvé, sécuriser le financement, cadrer les capex, et prévoir des clauses protectrices.

Verdict %curret_year% : sur des stratégies opportunistes avec un fort endettement, PEI peut être plus risqué (capex + taux). Sur du venture ou des buyouts chers, PE peut l’être davantage (exécution + multiples). Le risque est de nature différente plus que “plus élevé” : gérez-le, ne le subissez pas.

Quel investissement est le plus rentable ?

  PE PEI
Drivers Croissance/EBITDA, build-ups, arbitrage de multiples Reversion locative, capex créateur de valeur, arbitrage de cap rates
Profil de flux Plus-values concentrées à la sortie Revenus + plus-values à l’arbitrage
Dispersion Très élevée selon gérant/millésime Très élevée selon stratégie (core vs value-add/opportuniste)
Frais & coûts Management fees, carry, coûts de transaction Idem

Comparaison 5/10/15 ans : l’histoire montre des top quartiles à deux chiffres dans les deux univers, mais avec une dispersion marquée. Le cycle %current_year% offre au PEI des fenêtres d’entrée sur actifs décotés ; le PE peut capter des build-ups attractifs là où la concurrence se raréfie.

Les facteurs clés sont :  Prix d’achat, qualité du financement, exécution, timing de sortie et structure de frais dictent le net. Sans ces cinq prérequis, l’étiquette PE/PEI importe peu.

Exemples de trajectoires. PE : plateforme B2B avec 3 acquisitions relutives, marge +400 bps, multiple de sortie stable → TRI élevé. PEI : logistique urbaine verdissements + re-leasing, cap rate de 6,0 % → 5,2 % à la sortie → création de valeur tangible.

Verdict 2025 : avantage conditionnel PEI là où le repricing est encore profond et le plan d’actifs crédible. Sinon, PE garde toute sa place si les build-ups restent finançables et les multiples raisonnables.

Quel investissement est le plus intéressant fiscalement ?

Enveloppe / véhicule PE PEI
Compte-titres PFU/IR sur revenus/plus-values selon distributions et cessions Idem
Assurance-vie Fiscalité de l’assurance-vie (selon antériorité/rachats) via UC éligibles Idem si UC PEI éligibles
Holding (IS) Traitement des flux selon participation/activité ; intégration fiscale possible Idem, avec spécificités immobilières (TVA, droits) selon les cas
Formes juridiques FCPR/FPCI/SLP/FPS selon publics/éligibilité Véhicules immobiliers fermés, club deals, fonds pro, FPS

La “meilleure” fiscalité n’est pas liée à PE ou PEI, mais à l’enveloppe et au montage. Les plus-values et revenus n’ont pas la même incidence selon compte-titres, assurance-vie ou holding ; les véhicules (FPCI, SLP, FPS…) ont leurs propres règles d’éligibilité et de distribution.

On optimise d’abord la structure (enveloppe + véhicule), ensuite la stratégie. Pensez durée, profil de distribution, et contraintes personnelles (taux marginal, objectifs de transmission).

Verdict 2025 : pas de vainqueur universel. L’avantage fiscal revient au montage adapté à votre situation. Choisissez la classe d’actifs pour son couple rendement/risque, puis structurez pour maximiser le net.

Les critères à prendre en compte pour choisir où placer votre argent

Votre capacité de gestion et d’implication

Votre implication conditionne le choix.

En Private Equity, attendez-vous à suivre les participations, lire des reportings détaillés, comprendre les plans d’affaires et, parfois, participer à des comités consultatifs (sans gestion quotidienne).

En Private Equity Immobilier avec Openstone, vous investissez dans un fonds de fonds et c’est tout. Notre fonds de fonds, structuré en FPS, offre une exposition diversifiée à des gérants mondiaux de premier plan, avec un ticket d’entrée dès 30 000 € sous conditions (ou 100 000 €) et une fenêtre de liquidité à partir de la 4ᵉ année, puis annuelle.

Votre budget d’investissement

Le ticket d’entrée varie selon les fonds, véhicules et plateformes. Des solutions mutualisées (fonds de fonds, compartiments, plateformes) permettent d’accéder à plusieurs lignes avec un capital total plus modeste.

L’enjeu central reste la diversification : mieux vaut répartir un budget sur plusieurs millésimes/stratégies que de concentrer sur une seule ligne.

Vérifiez les frais de souscription, les appels de capital échelonnés et l’éligibilité à des enveloppes comme l’assurance-vie. Anticipez l’équilibre entre nombre de lignes et taille minimale par ligne pour rester pertinent statistiquement, tout en gardant une marge pour les opportunités futures.

Vos objectifs patrimoniaux

Clarifiez d’abord l’arbitrage plus-value vs revenus. Le PE cible surtout la création de valeur à la sortie ; le PEI peut combiner revenus locatifs et plus-values selon la stratégie (core+, value-add, opportuniste). Intégrez vos priorités d’optimisation fiscale (enveloppe, véhicule) et de transmission (simplicité juridique, horizon).

Votre portefeuille doit rester cohérent avec vos autres actifs (financiers cotés, immobilier direct, trésorerie). Fixez des objectifs mesurables : rendement net cible, volatilité acceptable, besoin de cash-flow, puis déclinez une allocation PE/PEI (et éventuellement dette privée) alignée sur ces objectifs et révisée annuellement.

Votre tolérance au risque

Mesurez votre confort face à la perte en capital potentielle, à la volatilité des valorisations intermédiaires et à l’illiquidité prolongée. Alignez le niveau de risque du produit avec votre profil investisseur : venture/growth et stratégies opportunistes sont plus volatiles ; buyout discipliné et value-add bien maîtrisé peuvent être plus lisibles. Réduisez le risque par la diversification (gérants, millésimes, zones), une sélection rigoureuse (track-record net, gouvernance, discipline de frais) et une due diligence documentée. 

N’oubliez pas l’effet psychologique : la patience est une ressource rare ; dimensionnez la poche non cotée pour pouvoir tenir le cycle complet. Faites donc en sorte que le non côté soit une partie cohérente de votre patrimoine pour éviter que vous soyez en difficulté si vous aviez besoin de ces fonds.

Votre horizon d’investissement

Les deux univers imposent un blocage de 8 à 10 ans en moyenne (parfois plus), avec appels de capital puis distributions concentrées en fin de cycle (J-curve). Vérifiez la compatibilité avec vos projets (liquidités futures, fiscalité à terme) et votre besoin de trésorerie

L’existence de marchés secondaires ou de compartiments peut offrir des soupapes, sans garantir un prix ni un timing favorables. Un horizon long permet d’absorber les cycles de multiples (PE) ou de cap rates (PEI). 

Structurez vos engagements par vagues (millésimes successifs) pour lisser les points d’entrée et réduire le risque de mauvais timing.

Bilan : private equity ou private equity immobilier pour vos investissements ?

Le PE excelle quand vous cherchez des leviers multiples (croissance, build-ups, arbitrage de multiples) et une diversification sectorielle large.

Ses faiblesses : dispersion élevée entre gérants/millésimes, dépendance au marché des sorties et illiquidité longue.

Le PEI brille lorsqu’il existe un repricing des actifs réels : on crée de la valeur via des capex utiles, la reversion locative et un arbitrage de cap rates. Ses limites : sensibilité aux taux, aux coûts de construction et au risque de chantier.

Profil prudent : privilégier des stratégies lisibles (buyout discipliné, PEI core+/value-add bien cadré), diversification et gérants au track-record régulier.

Profil dynamique : surpondérer PEI opportunistes quand les points d’entrée sont attractifs, ou PE orienté build-up dans des niches fragmentées. Profil expérimenté : combiner plusieurs stratégies et millésimes, en acceptant des poches plus cycliques avec une gouvernance stricte.

La meilleure réponse en %current_year% n’est pas “PE ou PEI”, mais un portefeuille cohérent (PE + PEI) complété au besoin par une alternative private equity (dette privée) pour stabiliser les flux. Openstone apporte une sélection exigeante de gérants, un cadrage des frais, une architecture adaptée (enveloppes, véhicules).

Accès possible dès 30 000 € sous conditions ou 100 000 €, avec possibilité de liquidité dès la quatrième année avec le fonds de fonds Openstone Prime. Parlez-nous de votre horizon, de vos contraintes et de votre besoin de cash-flow ; nous calibrons l’allocation et son suivi pour qu’elle reste alignée dans le temps.

FAQ – investir en private equity ou en private equity immobilier ?

Combien rapporte un investissement en private equity ?

Historiquement, les meilleurs fonds de private equity ont délivré des rendements annualisés à deux chiffres, mais la dispersion est forte selon le gérant, le millésime et le secteur. Les moteurs : croissance de l’EBITDA, gains d’efficacité, build-ups relutifs et timing de sortie.

Exemple type : une plateforme B2B réalise trois acquisitions, améliore ses marges (+300–500 bps), maintient son multiple et sort proprement ; le TRI net s’en ressent.

Pour optimiser la performance : sélectionner des gérants au track-record auditable, diversifier par millésime/stratégie/géographie, rester discipliné sur le prix d’entrée et le levier, soigner l’enveloppe (assurance-vie, holding) et la structure de frais (management fees, carried interest, coûts de transaction).

En pratique, la qualité d’exécution et la gouvernance pèsent plus que l’étiquette.

Combien rapporte un investissement en private equity immobilier ?

Le private equity immobilier vise des rendements supérieurs à l’immobilier core, à deux chiffres pour des stratégies value-add/opportunistes bien exécutées.

Le moteur est tangible : acheter décoté, investir des capex créateurs de valeur (énergie, usage, normes), relouer à meilleur loyer (reversion), puis arbitrer à un cap rate plus bas.

Exemples : logistique urbaine repositionnée, résidence gérée modernisée, actif hospitality “rebrandé”.

La performance nette dépend du prix d’achat, du coût de la dette, de la maîtrise des travaux et du timing de cession, moins des moyennes de marché.

Rappel essentiel : le PEI reste illiquide et sensible aux cycles (taux, cap rates, vacance). On réduit l’aléa via une diversification des classes d’actifs et des zones, une sélection de gérants qui ont délivré sur plusieurs cycles, et un pilotage rigoureux des risques opérationnels.